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jardin secret de mon coeur
5 mars 2006

a l'orée de ton coeur

    A l’orée de ton cœur, j’y déposerais des baiser de douceur.
    Tu seras le fruit de mes plus belles couleurs.
    Je t’offrirai mon cœur, pour le plus grand de tes bonheurs.
    Je te couvrirai de fleur, mon armure sera ton cœur.
    *****
    Si un jour je te trouve toi mon âme sœur.
    Je construirais un bouclier pour y enfermer nos pleurs.
    De mes mots j’effacerais nos douleurs.
    De notre amour je n’en ferais qu’un seul cœur.
    *****
    Je serais la moitié de ta moitié.
    Notre force sera douceur et sensualité.
    Un mélange de complicité, le tous englober dans la sincérité.
    Notre amour brillera le long de la voix lactée.
    *****
    Je te chérirai, comme si tu étais l’enfant que j’ai toujours rêvé.
    Je te couvrirai de mille et un baisers, je te suivrai au delà de l’éternité.
    De ma vie, je te la donnerai, même si je dois me sacrifier.
    *****
    Je serais ton être de lumière, de mon cœur j’en ferais une clairière.
    Tu seras la plus douce et tendre de mes cavalières.
    Tu seras la chair de ma chair, je ferais de nous notre univers.
    Mes mots ne seront que de doux baiser, déposé au bout de tes pieds.
    *****
    A l’orée de ton cœur, j’y déposerais une couronne de fleur.
    Tu seras mon trèfle à quatre feuilles, que j’ornerai au prix de ma douceur.
    Je te comblerais de bonheur, jusqu a ce que soit venue ma dernière heure.
    Je t’offrirai la clé de mon cœur, pour y ouvrir les portes du bonheur.
    *****
    Ensemble, main dans la main, nous dessineront le sentier des amoureux.
    Sur un ciel, dont la couleur, ne pourras être que celle de l’arc en ciel.
    Je me ferais ton ange Gabriel, je te prendrais sous mon aile.
    Je t’attendrais a point d’heure, même si je dois mourir avant l’heure.
    *****
    Que nos deux cœurs se trouvent et s’unissent, dans la plus pure des tendresses.
    Que de nos mains, ceux-ci se meurent d’une douce caresse.
    Que se lie en nous le verbe aimer, sur des mots brodés à l’orée de nos baisers.
    Qu’il puisse s’y déposé avec délicatesse sur un oreiller de sagesse.
    *****
    En attendant le grand amour on ne peut que le rêver.
    Mais avec sagesse on ne peut que l’espérer.
    Doudou le 6 septembre 2005 dans mon coeur reste un espoir,avant que ne vienne y sombré le soir

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Commentaires
T
et oui encore moi. tes poèmes sont vraiment très beaux. j'espère en voir de nouveaux à mon prochain passage...
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